tout commence un lundi en partant a mon travail je me decide a prendre l 'ascenceur .....
« Bonjour » Elle était là ma voisine comme tous les jours, un peu pressée, un peu en retard. Douce habitude hypnotique, elle appuie sur le bouton. On était là, comme tous les jours, dans un cocon routinier. Elle, cheveux court brun ,qui ne parlait que très peu, elle me sourit et me dit : « Qu'est-ce qu'il fait beau aujourd'hui. Je crois qu'on sort de l'hiver ». Et moi de lui répondre : « Eh oui, c'est le printemps. Je l'ai tellement attendu. Pouvoir enfin revoir... le soleil... les oiseaux... et surtout pouvoir revoir... vos jupes courtes ». Elle était en pantalon. Pourquoi j'avais dis ça? « Et vos jambes nues, j'adore ça ». Pourquoi avoir dit ça?
« Euh! Au revoir monsieur... Bonne journée ». Pourquoi j'avais dis ça? Et pourquoi pas... puisque c'était vrai... Son mari allait pas être content... Il allait me casser la gueule... Et puis après!...
le mardi matin .............
« Bonjour » dis-je en entrant dans l'ascenseur. Merde!... elle avait mis une jupe. Ma voisine était là dans l'acenseur, en jupe courte. Hummm! Elle était là, les cuisses nues, avec sa jupe quinze centimètres au dessus du genou. Et des petites chaussures d'été à talon haut, laissant apparaître de superbes petits doigts de pieds aux ongles fraîchement vernis . Tout ce que je lui avais demandé hier, elle me le présentait là sur un plateau. « Merci! Vous ne savez pas ce que vous me faîtes plaisir en acceptant de vous mettre en jupe ». « Mais... Mais... ce n'est pas... » bredouilla-t-elle. « Pouvoir enfin revoir le soleil iriser vos jambes nues sur vos petits talons haut... quel magnifique cadeau vous me faîtes. Merci!... ». «Non... Non... ce n'est pas du tout cela... Je n'ai pas voulu... ». La porte de l'acenseur s'ouvrit et je sortis vivement sans attendre la fin de sa phrase. Je me retourne, je la regarde droit dans les yeux et je lui dis « Demain, ce serait mieux si vous mettiez une jupe plus courte... ». Je tournais les talons et sortit prestement en entendant quelques mots essayer de me répondre.
Je sautai dans le bus! Ouf! Avec tout ça, j'avais failli rater mon bus. J'essayai de me détendre un peu. Mais difficile de ne pas repenser à ce que j'avais dit à ma voisine. Tout était sortit si facilement, si simplement.
le mercredi matin .........
« Bonjour » dis-je en entrant dans l'ascenseur. Ma voisine était là. Et devinez quoi, elle avait mis une mini-jupe très courte, vraiment très courte. A mon avis, elle n'allait pas pouvoir se pencher de la journée sans devenir totalement exhibitionniste. « Merci! Lui dis-je. Je vois que vous avez suivi mes consignes à la lettre ». « Mais pas du tout. Ecoutez, monsieur ,je crois qu'il est important qu'on se parle et qu'on mette enfin les choses au clair. Je... ». « Excusez-moi, je suis désolé, mais je n'ai vraiment pas le temps de parler ce matin... » « Mais moi il faut que je vous parle Mr . Quand pouvez vous? » « Je ne sais pas... » « Je crois que tout comme moi vous ne travaillez pas le jeudi, n'est-ce pas?. Alors passez me voir chez moi, demain en début d'après-midi à 14 heures par exemple » « Très bien, j'y serai à demain... » dis-je en poussant la porte de l'ascenseur et en sortant vivement, non sans avoir jeté un coup d'oeil sur ses cuisses d énudées, sa jupe tellement courte et ses petits sabots d'été. « A demain 14 heures. Euh!... Et S'il vous plaît ne passez pas avant quatorze heures ... Pas avant! » répétait-elle en criant alors que j'étais déjà loin. .....
le jeudi..........
J'ouvrai un oeil. Puis un deuxième. Je venais d'entendre les douze coups de midi. Huuuum! Que c'est bon, une grasse matinée.J'ai bien fait de prendre le jeudi en repos. Arrivé le mercredi, je suis crevé. Je me requinque un bon coup et je suis frais et dispo pour un vendredi très court qui pressent le week-end.
J'étais là, nu sous les draps, bien au chaud et je bandais? Je me rappelais mon début de semaine et il y avait de quoi bien bander: ma voisine du sixième. Quel beau début de semaine! Ma voisine, d'ailleurs, j'allai la voir tout à l'heure. Je me levai, prenai un thé, appréciai une douche chaude, me séchai, m'habillai cool. Le rendez-vous, c'est quand? Quatorze heure.
« Et S'il vous plaît ne passez pas avant quatorze heures ... Pas avant! » Pourquoi m'avait-elle dit cela? Bof, j'en sais rien. Elle dormait sans doute. Comme moi, elle devait se lever tranquilement vers les midi, une heure, puis prendre un petit dej' et se faire couler une douche.
Huuuummm! C'est ça! Elle serait sous la douche. Elle devait se pomponner tranquillement nue devant la glace, et s'habiller doucement pour être prête à quatorze heures. C'est pour ça qu'elle ne voulait pas que je passe avant... Il est quelle heure. Deux heure moins quart. J'y vais. Je monte au sixième. Je sonne... personne. Je sonne et je resonne, sonne, sonne, sonne. La porte s'ouvre. « Mais qu'est-ce que vous faite-là? Je... ». Ma voisine avait ouvert la porte. J'avais vu juste: elle portait en tout et pour tout une petite serviette de bain qu'elle avait enroulée autour de ses seins, ce qui la couvrait juste du haut de ses seins jusqui'au haut de ses cuisses, et une paire de petites chaussures à talons hauts.
« Vous m'avez invité, je crois ». « Oui, mais vous ne deviez pas passer avant quatorze heures » « Non, vous m'avez dit justement de passer avant quatorze heures » « Oh non! Bon! Si cela ne vous fait rien de repasser dans cinq minutes ». « Excusez-moi, mais je suis très pressé alors dîtes-moi ce que vous avez à me dire ». « Mais je peux pas rester comme ça sur le pas de la porte. Si madame Durant Me voit dans cette tenue... Entrez plutôt. » Une fois rentré, elle referma vivement la porte derrière moi. « Je vais me changer » me dit-elle. « Je vous ai dit que je n'avai pas de temps, alors dîtes-moi de quoi vous souhaitiez me parler... »
« Heu! Et bien, c'est à propos de vos réflexions dans l'ascenseur. Si j'ai mis des jupes hier et avant-hier, ce n'est pas du tout à cause de vous. Je l'ai fait, c'est parce que j'en avais envie. Je mets des jupes quand je veux. Mon mari a bien essayé de m'empêcher d'en mettre pour aller travailler. Vous, vous voulez me les imposer. Sachez, Monsieur , que je fais ce que je veux et que personne n'a à me dicter ce que j'ai à faire, ni vous ni mon mari. »
« Oh! Excusez-moi monsieur .. C'est une... une histoire de bandes dessinées... ».
Elle était là devant moi comme je n'aurai jamais osé l'imaginer. Vêtue d'une simple serviette et entièrement nue dessous. Je la dévisageai de haut en bas appréciant ses formes, ses cuisses, ses jambes et ses talons hauts. Elle était là dans un petit intérieur coquet, beaux meubles, salon cuir, petite table design et sur la table deux magnifique tasses colorées, deux cuillers en argent, et le café chaud était en train de passer. Tiens, elle voulait que je reste un peu, elle voulais m'offrir le café.
« Très bien, j'ai bien entendu tout ce que vous m'avez dit. Je comprends. Je dois m'en aller maintenant. » « Ah! Oui bien sûr! Mais c'est bête, je pensais que vous auriez un peu de temps. J'avais préparé du café pour vous, pour vous connaître un peu. C'est vrai, on ne se connait presque pas entre voisins. Et votre femme me semble très sympathique. Pour être franche, j'avais pensé qu'en prenant le café, on aurait pu fixer un rendez-vous pour que vous passiez à la maison un soir. Vous savez, mon mari ne veut jamais sortir... et on reçoit si peu. Vous pouvez pas rester un peu. Vous pourriez décaler votre rendez-vous peut-être, non? » « Si, je pourrais... » « Alors vous le faites? » « C'est 'd'accord » « Bon pouvez-vous servir le café pendant que je vais me changer? » « Ecoutez, je veux bien rester, je veux bien vous servir le café, mais par contre moi aussi j'ai quelque chose à vous demander: s'il vous plait restez habiller comme ça, n'allez pas vous changer. » « Mais, je ne suis pas très décente et... » « Je vous trouve très belle comme ça. Et vous êtes aussi décente que lorsque vous êtes en mini-jupe. Ni plus, ni moins, alors restez comme ça. » « Mais je... » « Ou bien si vous préférez je pars. J'irai à mon rendez-vous. » « Non, bon c'est d'accord » fit-elle en resserrant les deux bords de la serviette, qui en se joignant assurait la fermeture de cette minie-robe improvisée.
Nous nous asseyons et cela me faisait chaud de voir ses cuisses nues s'enfoncer sur le cuir du canapé crème. Nous commencions à discuter de choses et d'autres de tout et de rien. Nous nous brûlames en buvons le café trop chaud. Mais pris dans notre conversation qui commençait à de venir de plus en plus intéressante, nous ne sentions plus la température. Nous étions parti à parlé de nos années en fac et une douce nostalgie nous envahissait. Des souvenirs lointains. Je jetai tout de même parfois un coup d'oeil sur ses jambes des fois qu'elle se serait un peu entrouvertes. Eh non, on sentait la femme habituée à porter des mini-jupes et donc habituée à contrôler l'ouverture des ses genoux.
« Tout va bien » me dit-elle? » «Oui, votre café est très bon. » « Vous en voulez un autre » « Non merci, mais je ne dirai pas non pour un petit pousse-café ». « C'est quoi ça? » « C'est un alcool fort qu 'on met dans la tasse sans même la rincer. C'est délicieux. » « Ah! Je ne pense pas avoir cela... Si... j'ai une eau-de-vie de poire fabriquée par un grand-oncle et que mon mari a laissé de coté: il la trouvait trop forte » « Hummm! Je me laisse tenté... » elle me sert un petit vert à digestif de cet eau-de-vie « ...uniquement si vous en prenez avec moi » « Hum!... Et pourquoi pas!... J'ai jamais essayé... » « Vous prenez votre verre dans votre main, vous le faîtes un peu chauffé et puis cul-sec comme ça » « Alors cul sec me dit-elle » en sifflant elle aussi le verre d'un trait.
« Ouaaaah! C'est chaud! Mais c'est bon, ce petit goût de poire! Eeeh! Mais c'est bon! Vous en voulez un autre... » Elle nous servit un autre verre « Alors cul sec!... Huuuuum! ».
Au quatrième verre, ce qui devait arriver arriva. Ses genoux jusqu'à présent bien collés s'ouvrirent.Je vis apparaître sa petite chatte douce bien rasée avec juste une petite touffe de poil au dessus de sa fente.Se rendant compte que je regardais sous sa petite serviette, elle l'a tira vers le bas, ce qui eu pour effet de faire sortir ses deux gros seins de leur emballage. Elle ne s'en rendit pas tout de suite compte. J'eu l'occasion de bien les voir et de m'imaginer les malaxant. Je bandai très fort. Elle s'en aperçut et l'alcool aidant elle perdit tout sens de l'inhibition. Elle regardait sur mon pantalon moulant fixement la petite bosse.
Voyant, que je la regardait me voir, elle fut tout gênée. Elle s'aperçut alors que ses deux gros seins étaient sortis. Elle remonta sa serviette et fit du coup de nouveau apparaître le haut de ses cuisses nonchalantes et écartées. Elle referma alors ses cuisses en les croisant l'une sur l'autre, ce qui ouvrit le coté de la serviette fit sortir un sein et montrait le bord d'une fesse. Elle se remit convenablement, nous servit un autre verre et « Cul sec ».Elle s'enfonça dans le fauteuil. Les cuisses complètement écartées. « Alors, comment vous me trouvez » « Magnifique!... » « Qui m'aurait dit hier que j'allais me retrouver là à moitié nue et les cuisses écartées devant mon voisin du quatrième . Qui m'aurait dit qu'il allait me baiser, comme une délurée, sans vraiment me demander mon avis ».
« Bon je crois que je vais rentrer, Je crois que vous n'êtes pas en état d'envisager sereinement les choses. Vous avez bu et je ne voudrai pas profiter de la situation. Je vais vite partir parce que moi-même je ne suis pas en état de ... » « Balivernes, vous êtes bien en état. Et on le voit bien au travers de votre pantalon » Elle se leva, ouvrit sa serviette et la fit tomber sur le sol s'approcha de moi, s'installa à genou, tira mon pantalon . Elle fit sortit l'objet élancé face à elle. « Non Il ne faut pas... » Elle l'engloutit dans sa bouche, Sa petite langue lui faisait la fête de l'intérieur. Une giclée de sperme tapisse un peu sa gorge. Elle me suce de mieux en mieux. Pleine de douceur et d'envie. Au moment, de craquer je resort prestement. Elle se place à quatre pattes sur le canapé en cuir crème. Je m'approche par derrière, ses manifiques fesses...
« Cul sec » me fait-elle. Je place donc mon sexe à l'entrée de son cul. Je me fraye un chemin assez difficilement. « Cul sec » insiste-t-elle. Je lui fourre dans le cul. Et tout l'espace s'ouvre, les parois de rochers se tapissent de mousses, des sources de rosées inondent des oasis. je t 'encule et tu es ma déesse. Ma sorcière bien aimée, je tripote tes fesses. Et je saisis tes seins et tout cela durcit. Tes tétons doux et mon sexe aussi. J'envoie deux giclées, suivies d'une troisième.On s'écroule sur le canapé et on reste longtemps comme ça, moi encore dans ton cul débandant lentement. Toi le visage éclairé et me suçant le pouce.Puis, nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre...
le vendredi ...........
« Bonjour » dis-je en entrant dans l'ascenseur. « Bonjour monsieur » dit d'un ton neutre mon voisin. elle hocha la tête. Elle était en petite jupe courte, mais regardait dans ses talons, le visage fermé. Cet ascenseur qui m'aparaissait chaque jour empli de plus de clarté et de senteurs toujours plus printanières, me semblait aujourd'hui, triste et gris. Comme en automne, quand le jour est si court, et qu'il commence à faire si froid et humide. C'était si triste et sombre, et l'impression que les arbres n'avaient plus leurs feuilles. L'hiver venait tout à coup d'arriver dans cet ascenseur.
Le trajet me semblait une éternité. Ils sortirent devant moi, firent un vague « au revoir ». Le mari passa un peu devant. Elle en profita pour se retourner un peu, esquissa un sourire, et releva sa jupe. Je vis alors qu'elle était en string et qu'elle me montrait l'espace d'une courte seconde ses deux magnifiques fesses. Le tissu retomba quasi instantanément. Elle marchait droit devant, en imaginant sans doute l'effet qu 'elle avait causé en moi, ce trouble suivi d'une tornade de désirs et d'envies. Le soleil avait repris ses couleurs. Il brillait de nouveau de mille feux. Ouaaah! Le printemps était là et la chaleur qui l'accompagnait. Huuum! , merci! En un éclair tu m'a redonné la passion de vivre......